Nous quittons le parc d’Algonquin pour rejoindre le parc de Killbear, situé sur le coté Est de la baie Georgienne.
Le parc Killbear
Le parc est idéal pour toutes les activités nautique et la baignade, avec ses nombreuses plages autour de la péninsule. Situé au bord de la baie Georgienne, les panoramas sont magnifique. L’ours est présent, d’où son nom. Nous n’en avons pas vu malheureusement.
Nous rejoignons l’un des grand campement tout proche de la pointe. Nous parcourons le sentier menant au phare, longeant la baie. Le paysage est paisible et magnifique. Le phare est un lieu prisé pour les couchés de soleil.
En route pour la péninsule de Bruce
Nous partons sous une pluie battante qui nous suivra jusqu’à destination. Nous avons manqué quelques points interessant en chemin.
Wasaga beach, situé au sud de la baie Georgienne, est la plus grand plage d’eau douce au monde, avec ses 14 km de sable.
Blue Montains est une station de ski, offrant de nombreuses expériences d’activités de plein air. Tout proche, Collingwood est réputé pour être un village charmant.
Cape Croker
Nous arrivons au parc de Cape Croker, situé sur la péninsule de Bruce, où nous installons notre tente pour quelques jours. Le parc est un territoire amérindien, du peuple Chippewa. Un pow wow y est organisé chaque années. Le par possède une plage et différents sentiers de randonnée.
Nous partons découvrir la péninsule de Cape Croker, peu touristique. Au hasard des routes, nous découvrons des plages de galets avec une eau translucide et turquoise, déserte. Lors de nos baignades rafraichissantes, nous sommes ébahi par la transparence de l’eau. Même immergé au niveau du cou, je peux voir les galets du fond.
Greig’s Cave
C’est en voyant un panneau au bord de la route que la curiosité nous prend. Non loin de Cape Croker, les grottes/cavernes de Greig (Greig’s Cave) valent le détour. Un parcours d’environ 1h nous mène à de nombreuses cavernes, où il est possible d’entrer, en prenant garde de ne pas se tordre les chevilles sur les pierres. Les vues sont fantastique, et on s’amuse à se mettre dans la peau d’un homme des cavernes.














