C’est un monde incroyable de beautés souterraines, un immense réseau de grottes, de gorges souterraines avec les grottes de Škocjan un patrimoine classé à l’UNESCO, et l’incroyable château grotte de Predjama.
La grotte de Postojna
Très populaire, elle est la grotte la plus visité d’Europe. Je rejoins mon large groupe pour la visite en anglais. Nous prenons place dans le train souterrain pour accéder au coeur de la grotte. 24 km de passage. Je suis un peu sceptique au départ, mais l’émerveillement à rapidement pris le dessus. Nous passons dans des tunnels et des salles couvertes de stalactites et stalagmites. C’est incroyablement spécial!
Nous arrivons à la plus belle partie de la grotte et marchons autour. Les merveilles sont nombreuses : stalactites, stalagmites, drapés, colonnes, de différentes nuances, dont certaines scintilles. Un monde incroyable de beautés souterraines.
Le château de Predjama
Il n’y a pas d’autobus pour accéder au château depuis Postojna, j’ai dû faire du stop. J’arrive au château, admirative!
Depuis plus de 800 ans, le château de Predjama se tiens à moitié encastré dans sa grotte. Il est même dans le Guinness des records, car il est le plus grand château de cette sorte. Il apparait aussi dans de nombreux films.
C’est un château peu confortable avec son manque de lumière et sa fraicheur humide, mais il est un refuge sûre, difficile à envahir. Au moyen âge, c’est le facteur le plus important.
La légende d’ Erasme de Predjama, le Robin des Bois Slovène. Ce chevalier-brigand prit parti contre l’empereur autrichien. Poursuivi, il se réfugia au château, connu pour être imprenable. Il résista pendant 1 an, avant d’être trahi par l’un de ses serviteur. Il passait par les passages de la grotte pour ravitailler le château.
J’explore chaque salle du château, dans plusieurs partie. Les mur se fondent aux parois de la grotte. J’apprend comment les habitants y vivais, leur ingéniosité, comment ils se défendaient, leurs armes. Comme dans tout château, la salle des tortures me fait toujours froid dans le dos. Paraît-il qu’on entend des cris la nuit…
Carnet d'une curieuse 